Titre original : Second Chance Summer (traduction : Alice Delarbre)
Résumé :Taylor a une manière bien à elle de traiter ses problèmes personnels : elle les fuit. Mais lorsque son père, atteint d'un cancer, décide de passer son dernier été en famille dans leur maison de vacances, la jeune fille ne peut se dérober. C'est là, cinq ans plus tôt, qu'elle avait laissé sa meilleure amie, Lucy, et son premier amour, Henry, avec la ferme intention de ne plus jamais les revoir. Les souvenirs ressurgissent et, cet été, elle va devoir les affronter.
Je remercie sincèrement les éditions Hachette/Black Moon pour ce partenariat qui me fait toujours découvrir des lectures prenantes, touchantes, très plaisantes !
French Touch : A beautiful novel to read this summer. It is a spatio-temporal pause, a moment of life that we share with the author and her characters.
Chronique : J'ai vu tellement de chroniques positives sur ce livre que je ne voulais absolument pas passer à côté surtout pour cet été. Loin d'une lecture légère, romantique, L'Eté des secondes chances est un roman sur la vie, ses petits bonheurs mais aussi ses grands malheurs.
En effet l'auteure nous plonge dans un drame familial sans pour autant tirer dans le pathos bien au contraire j'ai vu certaines similitudes avec Nos étoiles contraires de John Green dans le sens où la vie, l'espoir est bien mieux mis en avant que le chagrin de la situation. Si il est indéniable que le personnage central - Taylor - souffre énormément, elle va aussi apprendre beaucoup sur elle-même.
Ainsi ce livre est un roman d'apprentissage, comment grandir face à l'adversité, prendre confiance en soi et affronter ses peurs. On constate une réelle progression chez les protagonistes : si l'héroïne va s'affirmer et ne jamais reculer, Lucy va constater que la faculté à pardonner est une qualité qui peut permettre à tout à chacun d'avancer sans pour autant se renier.
Les personnages sont donc très attachants car ils ont tous vécu quelque chose de marquant, je dirai même : ils ont vécu tout simplement. C'est au coeur de cette complémentarité, de cette recherche de soutien que Taylor et son entourage vont se construire un cocoon hors du cadre spatio-temporel durant un été. Un été qui va tout changer... C'est une pause de la vie qui laisse le temps à ses êtres de se réunir une dernière fois avant la fin de l'un d'entre eux.
Le rythme est lent et ne laisse pas place à l'action ce qui n'est pas le but recherché : l'auteur souhaite réellement mettre en exergue cette "coïncidence", cette "chance" que nous donne de la vie. Rien n'est terminé tant que le mot fin n'est pas écrit sur l'écran : il y a toujours de l'espoir, des rebondissements, des rencontres qui donnent un nouvel élan, une nouvelle direction à notre existence.
J'ai très envie de lire ce livre maintenant pour l'emmener à la plage !
RépondreSupprimerTrès belle chronique . Plus je vois de chroniques , plus il me tente .
RépondreSupprimerJ'en vois beaucoup de bien sur les blogs. Ça me donne vraiment envie de le découvrir. Je dois recevoir demain un livre des éditions hachette dont le thème est similaire, mais ce n'est pas ce livre :-(
RépondreSupprimerUn roman qui me tente énormément et ta chronique n'arrange rien ;)
RépondreSupprimerIl est dans ma PAL et j'espère aimer autant que toi :D
RépondreSupprimerArf... Ta chronique me donne vraiment trop envie mais... J'ai trop dépensé dans les livres hier alors je vais attendre un peu, mais je pense qu'il fera parti de mes prochains achats !
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec toi ! C'est une très belle chronique :)
RépondreSupprimerFranchement, il a pas l'air mal du tout !!
RépondreSupprimerJe lis beaucoup de chose positif sur ce livre, du coup, j'ai très envie de le lire :D
RépondreSupprimerUne très belle lecture très touchante !!
RépondreSupprimerCe roman me tente énormément !!
RépondreSupprimerJ'ai adoré ce livre alors que je pensais vraiment qu'il allait me déplaire mais j'ai pu constaté que j'ai fais des choses bizarre quand je le lisais. Je crois que la relation de Taylor et du père m'a beaucoup marqué et j'ai même pleuré à la fin.
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