Un grand merci aux éditions Denoël ainsi qu'à Mesdames Burlac et Giglio pour cette lecture
L'Oiseleur
[Der Federmann]
Trad. de l'allemand par Céline
Hostiou
Seul point
commun de ses victimes : une abondante chevelure blonde qui semble rappeler les
plumes d’oiseaux dont il couvre leur corps…
L’inspecteur Nils Trojan traverse une phase difficile. Divorcé, père d’une fille unique, il consulte en secret une fois par semaine la psychologue Jana Michels car il souffre de crises d’angoisse. En tant qu’inspecteur de la brigade criminelle, il ne peut se permettre de montrer le moindre signe de faiblesse.
Un jour, dans un quartier populaire de Berlin, il trouve le corps d’une jeune femme, violemment assassinée. Elle a le crâne rasé, recouvert de plumes, et un oiseau mort a été placé à l’intérieur de la plaie mortelle. Avant que Trojan n’ait le temps de comprendre ce qui s’est passé, l’Oiseleur frappe à nouveau, laissant la même signature macabre. L’inspecteur comprend très vite que l’Oiseleur est attiré par les femmes jeunes, blondes, à l’épaisse et ondoyante chevelure… Exactement le portrait de Jana. Dès lors, un duel à mort s’engage entre Nils Trojan et le dangereux psychopathe. Max Bentow plonge dans les tréfonds d’une âme en proie à la folie et nous livre le thriller le plus haletant de l’année.
L’inspecteur Nils Trojan traverse une phase difficile. Divorcé, père d’une fille unique, il consulte en secret une fois par semaine la psychologue Jana Michels car il souffre de crises d’angoisse. En tant qu’inspecteur de la brigade criminelle, il ne peut se permettre de montrer le moindre signe de faiblesse.
Un jour, dans un quartier populaire de Berlin, il trouve le corps d’une jeune femme, violemment assassinée. Elle a le crâne rasé, recouvert de plumes, et un oiseau mort a été placé à l’intérieur de la plaie mortelle. Avant que Trojan n’ait le temps de comprendre ce qui s’est passé, l’Oiseleur frappe à nouveau, laissant la même signature macabre. L’inspecteur comprend très vite que l’Oiseleur est attiré par les femmes jeunes, blondes, à l’épaisse et ondoyante chevelure… Exactement le portrait de Jana. Dès lors, un duel à mort s’engage entre Nils Trojan et le dangereux psychopathe. Max Bentow plonge dans les tréfonds d’une âme en proie à la folie et nous livre le thriller le plus haletant de l’année.
L’auteur Max Bentow, médecin
de formation, est né en 1966 et vit à Berlin.
« L'Oiseleur »,
qui marque son entrée en littérature policière, a connu un véritable succès à
sa sortie en Allemagne et s'est classé dans la liste des best-sellers du
Spiegel.
Il est le premier tome d'une série autour du lieutenant de police berlinois Nils Trojan.
Il est le premier tome d'une série autour du lieutenant de police berlinois Nils Trojan.
(Source : Éditions Denoël)
Les gribouillis de Mister
Grybouille :
Avis aux amateurs il y a un nouveau Sheriff en ville, Nils
Trojan.
Et Oh surprise, Il est allemand et officie à Berlin.
Je vous l’avoue tout de suite c’est une très bonne surprise. J’ai dû me
faire aux noms des rues… Le dépaysement, l’exotisme à la Berlinoise mais c’est
une ville que j’ai toujours voulu visiter pour son coté historique et son
dynamisme donc je m’y suis mis très vite et de bonne grâce.
Si Max Bentow veut bien dans
les futures aventures de son lieutenant de police rajouter des détails sur sa
ville je suis preneur.. .
C’est donc la première fois que je lis un auteur allemand dans ce type
de roman, le polar « thrillerisant»
et ma fois c’est un régal. L’écriture est rythmée, le style direct, la trame
solide et l’intrigue… allez je me lâche jouissive, pas de « chichi »,
pas de scène « Jamesbondesque » l’histoire n’en n’a pas besoin,
l’auteur écrit juste et cela met en valeur son roman.
L’histoire reste une enquête policière, nous suivons les traces d’un
sérial killer qui flashe sur les jeunes femmes blondes mais le style est très
personnel. Je le qualifierai de simple, pas simpliste, simple ce qui rend ce
roman accessible et par là-même le lecteur se sent dorloté. C’est très
plaisant, voilà, c’est cela que je cherchais comme qualificatif un roman
plaisant.
L’intrigue est truffée de rebondissements. Le déroulé des scènes est
vraisemblable. Les personnages ont du caractère et apportent tous quelque
chose, ils sont utiles et pour certains élargissent la vision du livre au delà
du monde du pur polar.
Grybouille aime que l’on garde le coté « humain », je veux
pouvoir penser que les personnages pourraient être mes voisins…Enfin pas trop
près qu’en même !
Nils Trojan entouré de son équipe d’enquêteurs, et supervisé
par une hiérarchique bienveillante, il se lance à la poursuite d’un psychopathe
entre deux rendez-vous chez sa psy Jana Michels afin de solutionner ses
crises d’angoisses. Nous découvrons son univers, son ex-famille, nous
partageons ses aventures.
Les personnages :
Nils Trojan, personnage principal, lieutenant à la brigade criminelle est une
personne que nous qualifierons d’humain avec ses problèmes personnels qui
perturbent sa vie d’homme divorcé père d’une adolescente. Il a recourt à un
suivi chez une psy.
Autour de lui une équipe de policiers efficace dont les personnages ne
demandent qu’à être développés dans un prochain opus peut-être, car il y a là
matière à approfondir.
Son Chef, Hilmar Landsberg, personnage rigoureux et disponible qui
traverse lui aussi des moments difficiles avec son épouse que l’on pressent
malade.
Jana Michels, la psy qui est en charge de remettre d’aplomb
notre policier et qui sera partie prenante dans l’histoire.
Mention spéciale pour la petite Lene, elle m’a touchée cette petite
puce de 10 ans aux prises avec un monde d’adultes pas cools. En aparté, c’est
une des très bonnes idées de l’auteur pour récupérer de l’émotion afin de tenir
ses lecteurs lors de cette enquête qui reste policière.
Konrad Moll, là encore bien joué ….Enfin pour le reste vous
découvrirez par vous-même en suivant les petits cailloux semés par M. Max Bentow.
Une chronique n’est pas un résumé de texte sinon pourquoi lire le
livre ?
Et puis Grybouille a pu laisser passer certaines choses, ne pas les
comprendre… Juste une chose je veux que l’on fiche la paix à ces pauvres petits
oiseaux qui n’ont rien demandé à personne, non mais sans blague !
La fin est intelligemment amenée et BZZZZZ…..je...ne….vous
capteZZZZZZZZZplus, jeRRRRRRpasse sous
unREBZZZZZZZtunnel……………………………………………………………………………………………………………….
@bientôt, pour de nouvelles aventures livresques.
J'aime bien ta chronique !! :D Mais je n'ai pas tellement envie de lire ce livre.
RépondreSupprimerJ'adore les séries de romans policiers :) je note je note !
RépondreSupprimerchronique très sympa qui m'a faite sourire !! ;)
RépondreSupprimerHaha j'adore la fin de la chronique ! Encore un livre qui doit rejoindre ma bibliothèque à ce que je vois ;)
RépondreSupprimerJ'ai du mal avec les auteurs allemands et avec les polars, ça fait beaucoup... Mais tu en parles très bien ;)
RépondreSupprimerJ'aimerais beaucoup lire cet auteur, un policiers allemand ça me changerais :)
RépondreSupprimerUne histoire de sérial killer avec des petits oiseaux martyrisés :S ? Oh non, désolée, c'est beaucoup trop pour ma petite âme sensible :D Pourtant, ta chronique est vraiment top ;-)
RépondreSupprimerJe suis une grande fan des thrillers avec des serial killers : il me le faut !!!!
RépondreSupprimerVraiment très intéressant :) Moi je dis qu'il va vite atterrir dans ma wish list ;)
RépondreSupprimerBonne prochaine lecture à toi :)
J'ai bien aimé ce livre mais il m'a manqué la profondeur du profil du tueur ainsi que que de Nils Trojan...
RépondreSupprimerEt Lene m'a également beaucoup touchée... :)
J'ai hâte de le retrouver !
Merci pour ton commentaire chez moi ! Et effectivement, je pense que le meilleur est à venir ;)
SupprimerBonne continuation livresque ;)
Deuxième avis positif que je croise sur ce titre, forcément je deviens curieuse surtout quand on emploie les termes psychopathe & humain ^^
RépondreSupprimerJe regrette de ne pas avoir choisi ce titre (un peu déçue par la chica zombie). Je pense qu'il finira tout de même dans ma biblio, car les autres avis que j'ai lus sur ce titre rejoignent le tien.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est la proximité de la lorraine avec l'Allemagne mais j'aime beaucoup l'ambiance kitch des allemands. Je note ce titre, un policier qui pourrait me plaire.
RépondreSupprimerLoool j'adore cette chronique fait d'un téléphone sous un tunnel pas mal pour un hibou :)
RépondreSupprimerJe ne suis pas thriller mais j'apprécie de te lire ^_^ pourquoi ne pas aller à Berlin? ce n'est pas si loin.. Certains rêves sont fait pour être réaliser :P
... "des voisins mais pas trop quand même" xD Merci pour cette chronique bien drole :D
J'ai bien envi de sortir de mes sentiers pour voir ce qui a inspiré une chronique semblable :)
Hou Hou, Klo, si tu repasses par là... Pour sortir de tes sentiers, c'est effectivement un livre qui peut être une première approche et que je conseille à tous les lecteurs désireux de faire de même. Pour ce qui est de la conduite, le Grybouille, animal à plumes rappelons le, ne conduit pas plus mal que certains animaux à poils qu'il croise tous les jours Hou Hou... :) Merci pour ton commentaire @bientôt. Serviteur Grybouille.
SupprimerMerci à toi pour ton commentaire et ta réponse. ^_^ Je retiens donc le titre. Pour la conduite je n'en doute pas je pensais juste que les Grands Ducs tout serviteur qu'ils sont, se faisaient conduire. hihihi. à bientôt :)
SupprimerC'est sympa de lire des chroniques peu classiques comme celle ci !
RépondreSupprimerJ'ai bien apprécié la lecture de ce roman, peut-être un peu moins que toi.
Eh bien voilà un avis qui me plaît et que je partage amplement. Je viens de le terminer et c'est un thriller tout à fait honorable avec oui, de bonnes idées...
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