À la
découverte de Sara Lövestam !
À l'occasion de la
parution en poche de Chacun sa vérité et de sa suite en grand format, c'est
l'occasion de mettre en avant la lauréate du Grand prix de la littérature
policière !
Traduction : Esther Sermage
Résumé : « Si la police ne peut rien pour vous, n’hésitez pas à faire appel à moi. »
Pour gagner sa vie tout en restant sous les radars, Kouplan propose ses services comme détective privé. Se faire invisible, évoluer dans la jungle du Stockholm underground, il connaît : ancien journaliste d’investigation dans son Iran natal, Kouplan est sans-papiers. La fillette de sa première cliente a disparu. Pour une raison mystérieuse, elle aussi souhaite éviter l’administration… Dès lors, de bête traquée, le clandestin se fait chasseur.
Pour gagner sa vie tout en restant sous les radars, Kouplan propose ses services comme détective privé. Se faire invisible, évoluer dans la jungle du Stockholm underground, il connaît : ancien journaliste d’investigation dans son Iran natal, Kouplan est sans-papiers. La fillette de sa première cliente a disparu. Pour une raison mystérieuse, elle aussi souhaite éviter l’administration… Dès lors, de bête traquée, le clandestin se fait chasseur.
Chronique : Je suis toujours
curieuse de lire le lauréat du Grand Prix de littérature policière qui
récompense de très beaux talents, encore une fois je ne suis pas déçue et j'ai
découvert une auteure prometteuse !
Je ne lis pas beaucoup de littérature
policière nordique (il faut que je rattrape mon retard) je suis plus concentrée
sur les thrillers français/anglais et les romans noirs américains. Je suis donc
très heureuse d'être sortie de mes sentiers battus pour découvrir une très belle plume traduite par Esther
Sermage !
Chacun sa vérité est un très
bon roman parce qu'il met en lumière des personnages, du vécu, des émotions.
Il y a bien sûr une enquête, un mystère à résoudre mais le principal reste les
personnages. J'ai tout de suite adoré
Kouplan, je le trouve très original,
très émouvant et attachant, c'est un personnage que je n'ai encore jamais
rencontré en littérature policière et j'ai notamment aimé le fait qu'il soit
aussi jeune car je me suis sentie tout de suite plus proche de lui.
Kouplan est un personnage riche, complexe : un être qui cache des
secrets, un être rongé par la peur de la police, un être qui souhaite survivre
avant tout pour avoir une chance de vivre véritablement un jour. Ce premier
tome permet de dévoiler certains aspects de sa personnalité mais on sent que
beaucoup d'autres points sont à résoudre.
Si je parle presque uniquement de
ce personnage c'est qu'il est le gros point fort, le cœur de ce premier tome.
On apprend à connaître aussi la Suède de nos jours, l'auteure permet ainsi de
dévoiler la face cachée de ce pays, d'en apprendre plus sur l'immigration en
Suède mais aussi sur les âmes égarées, sur la police et le monde clandestin.
En définitive, ce premier tome est vraiment excellent et je me suis
empressée de lire la suite !
Ça ne coûte rien de demander
Traduction : Esther
Sermage
Résumé : « Si la police ne peut rien pour vous, n’hésitez pas à faire appel à moi. » Kouplan, détective sans-papiers.
Ça y est, l’autoproclamé « détective » Kouplan, immigré iranien à Stockholm, n’a plus un rond. Il en est réduit à collecter des cannettes vides pour les revendre contre quelques pièces.
En fouillant dans les poubelles du quartier huppé de Lidingö, il croise le chemin de Jenny Svärd, conseillère municipale aux dents longues, dont il surprend la conversation : Jenny vient de se faire escroquer par son amante, qui a disparu dans la nature avec deux cent mille couronnes. Puisque ça ne coûte rien de demander, Kouplan saute sur l’occasion pour lui proposer ses services d’enquêteur…
Sara Lövestam vous fera découvrir la face cachée de Stockholm.
Ça y est, l’autoproclamé « détective » Kouplan, immigré iranien à Stockholm, n’a plus un rond. Il en est réduit à collecter des cannettes vides pour les revendre contre quelques pièces.
En fouillant dans les poubelles du quartier huppé de Lidingö, il croise le chemin de Jenny Svärd, conseillère municipale aux dents longues, dont il surprend la conversation : Jenny vient de se faire escroquer par son amante, qui a disparu dans la nature avec deux cent mille couronnes. Puisque ça ne coûte rien de demander, Kouplan saute sur l’occasion pour lui proposer ses services d’enquêteur…
Sara Lövestam vous fera découvrir la face cachée de Stockholm.
Chronique : Chacun sa vérité était vraiment un très
bon premier volume, la suite l'est tout autant !
Ça ne coûte rien de demander
est une suite à la hauteur du premier tome, une suite qui va permettre d'en
savoir plus sur le détective Kouplan et
ce à notre plus grand plaisir. En effet la fin du premier tome nous avait
révélé un gros secret lié à ce personnage et dès lors je voulais absolument en
savoir plus. Ainsi l'aspect addictif est
doublé dans chaque livre de Sara Lövestam : le livre est addictif du fait de
l'enquête menée par Kouplan mais c'est aussi un page turner car le héros est un vrai mystère, on souhaite
connaître tous ses secrets.
La lauréate du Grand Prix de
littérature policière confirme ainsi tout son talent et sa faculté à renouveler
complètement le genre policier : vous ne retrouverez nulle part un tel
personnage et une telle faculté à mélanger l'intime, l'enquête et le social.
Ainsi Ça ne coûte rien de demander
est tout autant un thriller, un policier qu'un roman noir.
Si j'ai moins aimé cette enquête
que la précédente, j'ai encore une fois été embarquée par le personnage de
Kouplan et j'ai vraiment hâte de lire la prochaine histoire !
En définitive, après Chacun sa
vérité, Ça ne coûte rien de demander
confirme le talent de Sara Lövestam !
J'ai adoré le premier tome, une véritable surprise ! Je vais me plonger ce week-end dans la suite !
RépondreSupprimer2 romans tentateurs dans un même billet, tu exagères.
RépondreSupprimerÇa ne coûte rien de demander est dans ma PAL, je n'ai toujours pas eu le temps de le lire. Et pourtant, je suis TRÈS tentée !!
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