Les Chroniques de CAMULOD
Tome 2_ Le Chant d’Excalibur
de Jack WHYTE
traduit par Claire KREUTZBERGGER
La légende est bien connue, celle d’Arthur ramenant l’ordre en des terres jusque-là ravagées par la cruauté. Son père, Uther, se taillant un royaume dans les décombres de l’empire Romain. Et l’épée Excalibur, que le plus grand roi d’Angleterre vint tirer de la pierre.
Mais la légende ne dit pas tout. Qu’advient-il des soldats romains livrés à eux-mêmes ? Doivent-ils fuir vers Rome ou chercher à contenir les barbares ? Publius Varrus, l’ancêtre guerrier d’Arthur, n’a pas hésité à verser son sang pour bâtir un nouvel empire sur les cendres de l’ancien, comptant à ses côtés la belle Luceiia, Romaine de Bretagne, femme d’honneur et de justice.
Ainsi nous sont contés les secrets de la légende. La naissance d’Excalibur, une épée d’exception, dans le sang, la violence et la fougue. Et celle d’un royaume à nul autre pareil. Tandis que la longue nuit des Âges Sombres se répand sur la Bretagne romaine, un homme et une femme s’efforcent d’ériger un dernier rempart dédié à la loi et à la connaissance. Un modeste fort perché sur une colline… qui deviendra Camelot la grande.
Né en Écosse, Jack Whyte a émigré au Canada en 1967. Il y a brièvement exercé en tant que professeur d’anglais avant de se consacrer entièrement à sa passion pour la scène et d’en faire son métier. Tour à tour comédien et musicien, il est également l’auteur de nombreux romans historiques bestsellers.
Grybouille,
387 ap. J-C, pour ce second Tome nous retrouvons Publius Varus, ancien centurion dans l’armée de Rome.
Confronté au prochain retrait de l’armée romaine de la Bretagne, Publius a fondé avec son ami Caïus Britannicus une colonie dans l’Est des territoires pour y accueillir ce nouveau peuple en devenir, les Britanniques.
Sur le mur d’Adrien et sur les rivages, l’armée romaine a de plus en plus de mal à contenir les assauts répétés des tributs Saxonnes, Scots, Pictes, Angles, Francs…
Dans la Colonie, la vie s’est organisée, la villa Britannicus est devenue une forteresse, les enfants ont grandis, des mariages ont eu lieu, la légende est en marche.
Mais les ennemis sont partout, et les haines tenaces !!!
Jack Whyte a construit très intelligemment cette chronique, en nous donnant sa version sur Coventina cette déesse Celte des eaux que nous connaissons plus sous le nom de « la Dame du Lac », l’épée chantante « Excalibur », la création du fort sur la colline, l’émancipation des femmes, le Conseil qui régit la vie de la communauté…
Cette période est aussi riche en inventions et en nouvelles techniques militaires avec l’apparition de la cavalerie lourde, des techniques des forgerons…
En tant que lecteur j’ai pris un ÉNORME plaisir à lire les deux tomes. Le style d’écriture de ce conteur qu’est Jack Whyte m’a bercé, ses personnages sont touchants (sauf cette saloperie de…..),
« Les mots sont des outils bien malcommodes, peu adaptés aux hommes intelligents qui souhaitent discourir avec sérieux. », tiré de la correspondance de Picus avec son père Caïus.
Amis (ies) lecteurs (trices), il faut croire que pour Jack Whyte ce n’est pas un souci….
Bonne lecture,
Là, tu me tentes à fond !
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