Merci aux éditions du Cherche Midi ainsi qu'à Madame Perronno pour cette lecture !
ORFEO
De Richard Powers
Le plus beau roman sur la musique
depuis...
Le temps où nous chantions.
Un soir, la police sonne à la porte de Peter Els, un compositeur solitaire à la vie bien rangée. La Sécurité nationale veut l'entendre à propos d'une infection bactériologique suspecte dans un hôpital voisin. Bien qu'il n'ait rien à voir avec cette affaire, Peter, affolé, prend la fuite. Et la rumeur commence à enfler, relayée par Internet et les médias, on le soupçonne d'être un terroriste. En quelques jours, sa vie bascule. Durant son long voyage à travers le pays, Peter va mettre à profit cette mésaventure pour renouer avec toute la puissance de son art, qu'une existence trop tranquille avait émoussé.
Après Le temps où nous chantions, Richard Powers revient ici à son amour passionné de la musique et fait défiler toute la bande-son du xxe siècle. C'est une véritable fugue qu'il nous offre. Fugue au sens musical du terme. Fugue pour échapper à une société de surveillance qui ne nous laisse d'autre choix que de devenir clandestins. Fugue dans le passé où se trouvent, peut-être, les solutions à un présent problématique. Fugue face à la mort qui, inexorablement, se profile... Avec ce portrait d'un homme littéralement hanté par la musique, Powers donne à ses thèmes de prédilection une ampleur inégalée et s'impose comme l'un des romanciers les plus fascinants de la littérature américaine.
Richard Powers est né à Evanston, dans l’Illinois. Orfeo est son huitième roman publié dans la collection « Lot 49 ».
Le temps où nous chantions.
Un soir, la police sonne à la porte de Peter Els, un compositeur solitaire à la vie bien rangée. La Sécurité nationale veut l'entendre à propos d'une infection bactériologique suspecte dans un hôpital voisin. Bien qu'il n'ait rien à voir avec cette affaire, Peter, affolé, prend la fuite. Et la rumeur commence à enfler, relayée par Internet et les médias, on le soupçonne d'être un terroriste. En quelques jours, sa vie bascule. Durant son long voyage à travers le pays, Peter va mettre à profit cette mésaventure pour renouer avec toute la puissance de son art, qu'une existence trop tranquille avait émoussé.
Après Le temps où nous chantions, Richard Powers revient ici à son amour passionné de la musique et fait défiler toute la bande-son du xxe siècle. C'est une véritable fugue qu'il nous offre. Fugue au sens musical du terme. Fugue pour échapper à une société de surveillance qui ne nous laisse d'autre choix que de devenir clandestins. Fugue dans le passé où se trouvent, peut-être, les solutions à un présent problématique. Fugue face à la mort qui, inexorablement, se profile... Avec ce portrait d'un homme littéralement hanté par la musique, Powers donne à ses thèmes de prédilection une ampleur inégalée et s'impose comme l'un des romanciers les plus fascinants de la littérature américaine.
Richard Powers est né à Evanston, dans l’Illinois. Orfeo est son huitième roman publié dans la collection « Lot 49 ».
Grybouillement votre,
Les aventures de Peter Els,
septuagénaire coincé entre son passé de musicien et son présent de chimiste bricoleur
éclairé rattrapé par des affaires relevant de la sureté nationale américaine.
A l’occasion de sa fuite, il
renouera avec son passé.
La découverte des grands compositeurs,
son expérience de compositeur, les autres artistes, ses amours, sa fille… La
Physique…
Certains livres vous font grandir,
pas dans l’âge, mais dans votre capacité à comprendre les choses, ce roman fait
partie des livres qui vous font œuvrer.
Ce livre, je l’ai haï, je l’ai aimé,
puis je l’ai haï et encore aimé… Il m’a poussé dans mes derniers
retranchements, j’ai cherché pour comprendre, j’ai écouté les musiques citées
pour faire miens les savoirs de l’auteur. Le haut niveau, pas facile mais le
plaisir est au bout du chemin, il faut s’accrocher.
Je ne vous le cache pas c’est un
récit passionnel. C’est la première fois que cela m’arrive. J’ai voulu le
jeter, l’oublier, mais dès que je le posais un instant, je le cherchais déjà du
regard. Nous nous jaugions, aurais-je le courage, la volonté de le dompter.
Élever mon niveau de lecture…
Superbe écriture que j’avais
découverte dans « Le temps où nous chantions ». Richard Powers décortique
sa musique intérieure et couche sur
papier ce que son ouïe lui transmet.
Une histoire prometteuse à la
première ligne qui jamais ne fléchit ; mais que cela
aura été dur. Un roman à réserver aux lecteurs qui ne lâchent rien car « Ils
sont partis se promener et n’ont pas envie de rentrer. »
Un mot sur la traduction, Jean-Yves Pellegrin, chapeau bas, vu le niveau d’écriture de Richard Powers, le fait de
transcrire fidèlement ce type de roman démontre un niveau qui touche
l’excellence. Merci à lui.
« Parfois quand j’écoute, je suis partout » et bien lisez
maintenant…
Do, Ré, Mi, Fa, @ bientôt
On sent que ça n'a pas été une un long fleuve tranquille cette lecture! Mais si elle en vaut la peine, je lance un pourquoi pas???!!!!
RépondreSupprimerJe vais le lire car j'aime les défis et je ne lâcherai rien :-)
RépondreSupprimerJe l'ai dans ma PAL, il ne sera pas pour tout de suite mais j'espère avant la fin de l'année ^^
RépondreSupprimerIl me semble un peu trop compliqué pour moi mais il a l'air bien tout de même ! Peut-être un jour ?
RépondreSupprimerC'est ce que j'appelle une lecture en dents de scie! À chaque fois que je me suis frottée aux romans de Richard Powers, je n'ai jamais réussi à les terminer. L'étincelle ne prend pas... Ça arrive!
RépondreSupprimerAcheté hier soir et commencé dans la foulée ... C'est un auteur que je suis et j'apprécie énormément tout ce qu'il écrit. Ses romans sont souvent très érudits, ce qui rend la lecture exigeante, mais ils nous rendent tellement intelligents ...
RépondreSupprimerJe n'ai jamais lu cet auteur alors pourquoi pas ?!
RépondreSupprimerLe style a l'air compliqué mais cette lecture m'intrigue. Je trouve la couverture sublime par contre, très attractive. Merci pour ta chronique Grybouille.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si je vais oser m'y aventurer. En tous cas on sent que tu as réellement vécu ce récit.
RépondreSupprimerCoucou Léa et Grybouille, J'ai tellement aimé Le Temps où nous chantions, quel p****n de bon livre !!!!! un choc ! On verra si la magie opère une nouvelle fois, j'avais moins accroché avec Générosité ! Bisous
RépondreSupprimerJe l'ai commencé hier soir et je suis un peu inquiète en lisant ton billet...
RépondreSupprimerIl m'attend. J'appréhende un peu du coup ;)
RépondreSupprimerJe le prends et le repose sur les tables en librairie depuis sa sortie et là, ce que tu dis me tente beaucoup ! J'aime bien avoir une relation tumultueuse avec un bouquin ;)
RépondreSupprimerBelle chronique mais je pense passez mon chemin pour cette fois ci!
RépondreSupprimerLe genre de bouquin qui me fait terriblement envie et... peur.
RépondreSupprimerLe niveau, et cette musique que j'aime bien écouter mais n'en comprends pas les termes.
Alors, je prends le roman dans les mains, je le caresse du regard ou de la main, je t'entends l'oreille, mais le repose... pour le moment, peut-être...
Ce roman à l'air bien mais je ne sais pas si j'arriverais à le lire, surtout que je remets tout juste d'un burn out littéraire lol
RépondreSupprimerSon précédent m'étant tombé des mains, j'hésite vraiment à lire celui-ci.
RépondreSupprimerTon billet est génial! J'aime bien ce type de relation avec un livre, la lecture peut être aussi un acte passionnel finalement, et certains ouvrages nous le rappellent.
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